Voici un deuxième look à la neige ! Enfin… Je ne sais pas si on peut appeler ça un look, car il n’y a pas beaucoup de photos, ni de détails mais tout cela à une raison : caprice de blogueuse haha Mais oui je l’assume. Je voulais faire des photos de rêve avec la neige, élément bien trop peu présent dans ma vie, c’est pourquoi je voulais marquer le coup ! Et encore plus lorsque je me suis retrouvée dans un endroit digne des contes de fée !

Décor de rêve

J’avais dans l’idée de faire des looks pendant ce week-end à Cauterets. Sans grande surprise pour Max qui avait donc très hâte de me shooter ! Blague à part, je n’ai pas fait la relou à lui demander h24 de me prendre en photo. Il aura fallu attendre le deuxième jour, lorsque nous avons fait notre balade en forêt. Après 1h30 de marche et après un bon pique-nique, nous avons pris 15 minutes pour shooter ce premier look. Le lieu était superbe, il y avait de la neige partout… Bref, j’étais contente du résultat.

Puis dimanche, nous avions prévu de faire une randonnée au Pont d’Espagne. Avant notre départ, j’avais fouillé sur Internet pour voir ce qui m’attendait. Sans trop me spoiler, le spot me vendait du rêve. Ce moment serait donc idéal pour faire de chouettes photos. Malheureusement nous n’avons pas bien géré notre temps…

Les photos d’Internet ne m’avaient pas menti ! C’était MAGIQUE. Nous avons donc fait 1h30 de randonnée entre sapins, rivières, stalactites, et torrents. Max vous raconte tout en détails dans cet article. J’ai véritablement adoré, et je garde de superbes souvenirs de cette balade.

A la fin de notre circuit, nous avons retrouvé les anciens coéquipiers de Max. En effet, il vous racontera dans l’article que son ancien club de foot, le Stade Bordelais, était parti en week-end pour souder les liens, Cauterets. Et forcément ils avaient prévu de venir le même week-end que nous. Et forcément, ils avaient prévu de faire des raquettes au Pont d’Espagne le même jour que nous. J’étais contente pour Max, mais je sentais le traquenard…

RDV 15h15

Nous les avons rejoints dans le chalet où ils logeaient. Max a passé de bons moments en leur compagnie. Moi de mon côté, je téléphonais à ma mère puis je voyais l’heure tourner. Nous devions prendre le chemin du retour aux alentours de 14h30 pour être à temps la navette. Celle-ci devait partir à 15h15. Max a quitté ses amis aux alentours de 14h20. C’était chaud mais il était hors de question de partir sans faire de look !

Je me suis donc changé en vitesse et hop, direction la rivière et le petit pont. Seul hic : les photos sont moches ! Je vous jure, cela se voit que je suis crispée et pressée. Du coup, on repart et on prend la route du retour. Seul hic : on ne sait pas pour combien de temps on en a, car nous ny’avons pas prêté attention à l’aller. Ca sera la surprise et Max commence à stresser. Moi, comme d’habitude, je suis zen. J’ai l’habitude de gérer le retard. Pourquoi ? Parce que je suis une éternelle professionnelle du « Désolée pour le retard ». Mais c’est comme ça, je n’y peux rien. C’est vrai que depuis que je suis avec Max cela va un peu mieux, car lui c’est l’opposé, il est toujours en avance !

Enfin bref, nous voilà face au Pont d’Espagne et je veux faire quelques photos juste ici. Max prend sur lui, et me prend en photo.

Le temps pour Marie de prendre toutes les photos qu’elle voulait. Enfin presque… Je lui mis un peu la pression sur le retour car l’heure du départ approchait.

Comme il le dit si bien dans son article, il m’a mis un peu la pression. Bon, en même temps il était 15h00 et nous n’étions pas à côté du parking. Malgré cela, nous avons réussi à faire quelques photos. Pas le temps de checker, il fallait reprendre notre chemin. Nous avons du nous mettre à courir sur les derniers mètres. J’ai d’ailleurs oublié de vous signaler que si nous loupions cette navette il fallait attendre la suivante qui était à 17h15. Sachant que nous devions reprendre la route pour Bordeaux, cela aurait été un gros problème.

Mais tout fini bien puisque nous sommes rentrés dans le bus à 15h13 ! J’ai regardé Max et lui ai sorti un petit « Tu vois je te l’avais dit qu’on l’aurait. C’était pas la peine d’arriver plus tôt ».